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PROPAGANDE

🌍 SCiENV 🔹 PFAS’cour arèdjî !

Posté par Brol le 07/03/2024 pour le secteur SCI
🌍 Article public

Personne n’y a échappé, cette fin d’année 2023 est marquée par le scandale des PFAS. On nous en sort à toutes les sauces, dans tous les médias, et, ô surprise… on en retrouve dans l’eau, dans les cultures, dans les viandes issues des élevages, dans les œufs des poules. Bah tiens, comme c’est étonnant !

Commençons donc par le début. Que sont ces si inquiétants PFAS ? Alors, cet acronyme étrange définit en fait 2 molécules aux noms encore plus étranges, d’où le fait qu’on parle des PFAS. Leur petit nom est donc perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées. Wais, des noms bizarres qu’on ne connaît pas, ça fait peur. Regardons-y donc d’un peu plus près.




Alors, ce petit machin, c’est une chaîne d’atomes de carbone (la base de la chimie organique) enrobée d’atomes de fluor (ça fait briller les dents) et d’une tête formée d’un groupe –COOH qui fait appeler cette chaîne « carboxyle ». Cette même molécule était appelée PFC par le passé mais bon, quand on s’habitue à un nom, on en change et on appelle ça une nouveauté.

Mais quelle est l’origine de ces PFC ? Vraisemblablement, nous devons encore une fois remercier notre ami Oppenheimer. Nous sommes en plein projet Manhattan et on a besoin de produire de l’Uranium 235 pour fabriquer la bombe atomique. Problème : les acides nécessaires à la production de l’Uranium sont tellement corrosifs qu’ils bouffent tous les joints du matériel qui se met à fuiter de partout. On repense alors à un composé inventé par erreur en 1938 quand Plunkett, avait mélangé un réfrigérant sur lequel il travaillait avec de la neige carbonique. Était né de ce mélange une poudre blanche aux propriétés étonnantes. Chauffée à plus de 300°c, il était possible d’agglomérer cette poudre pour en faire un matériau continu utilisable. Ce matériau résistait au froid, au chaud jusqu’à 250°c, aux acides, et à plein d’agents agressifs. En plus, rien ne collait dessus. Ce matériau, initialement nommé PTFE allait par la suite prendre le nom de Téflon.




Et oui, ce ruban blanc, vous le connaissez, tous. On en a chacun dans notre trousse à outils, on en met chaque fois qu’on doit visser un tuyau d’eau froide (voire d’eau chaude si on n’a pas de chanvre et de grosse graisse), on s’en sert dès qu’on doit étanchéifier en urgence un tuyau qui fuit que ce soit un tuyau de fluide ou de gaz, ça dépanne toujours.

On a aussi tous des poêles Téfal : ces fameuses poêles métalliques noires… bah, si elles collent moins que les poêles en tôle ou en cuivre, c’est grâce à leur revêtement de surface en téflon, le même qui est d’ailleurs utilisé pour vos caquelons de raclettes…

La suite, vous la connaissez, les années 1960 : « le plastique c’est fantastique ». Et même si on en revient un peu depuis quelques années, il y a des millions de choses pour lesquelles on ne saurait plus se passer du plastique aujourd’hui. D’ailleurs, on en revient… sauf qu’on y revient plein pot à présent avec les impressions 3D comme quoi la vie est un éternel recommencement.




Ne vous tracassez pas, il n’y a pas que vos poêles et les joints de vos robinets d’eau qui sont plein de PFC / PFAS… Des chaînes carbonées fluorées qui se terminent par –COOH, vous en avez à la pelle. Ainsi, vos vêtements acryliques, PFAS. Vos peintures latex, PFAS. Votre maquillage mesdames, PFAS. Vos jolis meubles anti-tâches, PFAS. Vos gels-douche soyeux, PFAS. Les emballages alimentaires et les films entre les tranches de viandes ou de fromage pour les sortir facilement une à la fois, PFAS. L’extincteur à mousse que vous avez dans votre voiture ou dans le hall de votre appart et que vous viderez intégralement à même le sol si vous faites un jour une mini-formation aux interventions de première ligne avec les pompiers, PFAS…

Bref, ces PFAS, vous vous inquiétiez pour l’eau de votre robinet, mais vous en avez plein vos vêtements, plein vos aliments, plein les surfaces autour de vous… dans des concentrations bien supérieures à ce que vous trouverez dans votre verre d’eau.




Bon, inventés dans les années 1940, répandus massivement depuis 1960, les PFC / PFAS font une première fois parler d’eux négativement en 1999. À Parkersburg (Virgine Occidentale), l’usine DuPont (la même qui a inventé le téflon) possède de gigantesques bassins servant à traiter les déchets de fabrication de l’usine, notamment les acides utilisés pour la fabrication des PFOA (une substance reprise dans les PFAS). Problème, il y a des fuites. Des concentrations importantes d’acides s’infiltrent dans les sols, contaminent la nappe phréatique, contaminant l’eau, ceux qui en boivent, dont le bétail d’un fermier local qui lance un procès. Ça vous rappelle Erin Brockovich ? Bah oui, pas de surprise, c’est ce procès qui a donné l’idée de faire un film sur le sujet, lequel est sorti comme par hasard en l’an 2000 soit 1 an plus tard. Bon, « Erin Brockovich » est basé sur le même problème qui avait eu lieu dans une autre usine à Hinkley avec des fuites aux bassins de la Pacific Gaz and Electric Company avec dans ce cas des soucis liés au chrome et non aux PFAS… mais si vous voulez un film sur les PFAS, un autre est sorti sur le sujet en 2019 et a pour titre « Dark Waters ».

Bon, dans ce cas-ci, nous parlons d’une fuite massive à un endroit entraînant une très sérieuse contamination.




Évidemment, avec des concentrations de PFAS dignes d’un accident industriel dans l’eau potable, il était évident que des soucis de santé allaient être inventoriés. Ainsi, on constate des anomalies de santé dans la population de Parkersburg sur base desquelles des recherches sont lancées. En 2011, une étude conclut que certains PFAS pouvaient augmenter le risque de développer certains cancers et pouvaient renforcer le risque d’infertilité. En 2013, une étude démontre un lien de causalité avec l’affaiblissement du système immunitaire. Deux études ont démontré en 2010 et 2012 une transmission des PFAS de la mère à l’enfant via le placenta, le cordon ombilical et le lait maternel. Une étude de 2018 démontre quant à elle un impact sur le métabolisme des lipides favorisant l’obésité. Bien sûr, ces études sont basées sur des taux d’exposition très élevés.

En 2019, quand sort « Dark Waters », le sujet est lancé sur la table et, en découvrant le film, les autorités européennes se disent qu’il serait bon d’anticiper et de légiférer sur le sujet. Ça permettra de justifier de budgets pour les laboratoires de recherche et les entreprises pharmaceutiques et ça occupera les juristes. Comme toujours, on veut imposer le risque zéro, alors on considère comme alarmantes des concentrations ridicules et on fonde tout un système ultra-sécuritaire basé sur le principe de l’environnement aseptisé vers lequel on tend depuis 30 ans.





Image cliquable


Fin 2023, nous sommes à l’approche d’élections. Tout est donc bon pour se tirer dans les pattes. Et là, hop, on sort le lapin du chapeau. Une future norme est à l’étude mais n’est pas encore d’application. Sur base de cette potentielle future norme, un dépassement marginal du futur taux maximum est repéré dans l’eau d’une commune. Aucune mesure à prendre puisque la norme n’est pas encore d’application mais bon, on aurait pu… principe de précaution… c’est inadmissible… Ouiiiiiii, un outil pour se bastonner au parlement, youpie ! On fait tester toutes les communes de la Région et sans surprise, il y a d’autres cas, tout aussi marginaux mais bon, ça donne du grain à moudre.

Bien entendu, la rédaction de la nouvelle norme européenne, sa transposition dans le droit belge, son application dans les Régions, les bagarres entre politiciens, les enquêtes, les analyses,… tout ça est payé par le contribuable. De la même façon, la distribution d’eau en bouteilles (en plastique, qui se dégradent, et qui libèrent également des PFAS) est également payée par le contribuable. Et c’est à nouveau le contribuable qui payera le traitement ultra-violet de l’eau de distribution dans ses taxes pour retirer l’infime dose de PFAS présents dans cette eau qu’on envoie principalement dans l’avaloir de la douche et dans les chiottes.




Ce qui me fait le plus rire, c’est qu’en même temps que j’écris cette propa, je finalise également une demande de Permis d’Urbanisme pour la transformation d’une ancienne maison de garde forestier de 1922 au beau milieu des Ardennes à un endroit où il n’y a pas d’eau de ville. Cette maison est toujours alimentée par une pompe tirant l’eau via un vieux système de filtrage. En amont du filtre, une pompe électrique d’après-guerre montée sur une canalisation de plomb qui s’enfonce dans le jardin, pour rejoindre un puisard placé à l’intérieur d’une chambre de visite en moellons et traversée par un minuscule ruisseau naissant d’une source située à une quinzaine de mètres de là. Mieux que ça, à Liège, pleine ville, dans la rue où je travaille, on a eu un gros chantier SWDE l’année passée : ils remplaçaient les canalisations de plomb entre la rue et les compteurs par des socarex… Et oui, même en ville, on a encore des tuyaux de plomb qui te refilent le saturnisme.

Dans le même temps, sur les réseaux d’eau de moins de 15 ans, on trouve systématiquement des conduites Alpex ayant remplacé les conduites en acier galvanisé. On a arrêté le galva parce que ça finissait par rouiller et fuiter. L’Alpex tient mieux dans le temps : un fin tuyau d’aluminium emprisonné entre 2 feuilles de plastique. Vous le voyez le futur scandale des alpex qui libèrent des PFAS une fois la nouvelle norme active ? Je ne sais pas vous mais perso, je trouve qu’on abuse un peu trop à notre époque avec le côté aseptisé. Éviter les grosses conneries, oui. Imposer à tout prix le risque zéro, c’est peut-être le pas de trop.

Sources :

- Les journaux télévisés : ici, ici et ici.

- Le projet Européen : ici, ici et ici.

- Ce mémoire
rédigé en 2019 avant tout ce battage médiatique et qui se montre bien plus posé dans son discours. Celui-ci m’a d’ailleurs permis de bien documenter la propa et je trouve son approche infiniment plus intéressante que la propagande de la peur dont nous gave ad nauseam le journal télévisé...


- Et les compléments Wiki : ICI, ICI, et ICI.

15 commentaires
Chose
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Il est drôle d'alerter l'opinion publique lorsque le problème est connu et documenté, surtout que ça ne date pas d'hier ni de l'année passée. Il est triste de faire croire que le problème sera résolu... par une norme européenne qui ne limite pas grand chose. C'est dans la limite de l'acceptable, il y a des gens plus fragiles que d'autres, c'est la faute à pas de chance. Regardez ceux-là sont en bonne santé.

Prenons les agrumes, ils sont traités au thiabendazole. La Commission Européenne a autorisé que le taux soit 50 à 70 fois supérieur par rapport aux autres car ça arrangeait les producteurs espagnols.

https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32017R1164&from=FRA

Une limite basée sur l'utilisation faite par les différentes entreprises n'est vraiment pas très utile pour protéger les personnes.
Machin
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Wow sacré article. Merci c'etait interessant a lire
Chose
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J'étais même pas au courant, jamais entendu parler, je m'intéresse pas plus a l'actualité que cela car ça fait peur ..
Merci des infos !
Gadget
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Même moi qui vis dans une grotte, j'en ai entendu parler. Bon, c'est du belge, avec ce qu'il y a de bon et de moins bon.
Brol
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Oh, ça va, c'est les Pays-Bas et l'Allemagne...

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2023/02/23/polluants-eternels-explorez-la-carte-d-europe-de-la-contamination-par-les-pfas_6162942_4355770.html
Instrument
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#131852 : On voit sur cette carte que les plus fortes concentrations en pollution inventoriée suivent le tracé des cours d'eau. Viennent ensuite les grandes villes et puis des nuages dispersés...

En soi, ça ne suit la présence de la population : la plupart des villes se sont implantées et développées le long des cours d'eau avec donc une plus forte densité de population sur ces tracés.

Les masses de points concentrées en grosses plaques hors des rubans longeant les cours d'eau correspondent au capitales et principales villes, à nouveau des zones densément peuplées.

Enfin, on a des nuages de points épars sur la Flandres et l'Angleterre où tiens... étrangement, l'habitat est également un habitat épars et déstructuré.

Evidemment, vu que les zones densément peuplées ont également plus d'activité, on y retrouve davantage d'industrie également. La carte ne permet toutefois pas de faire la différence entre pollution liée à une activité industrielle et pollution lié à l'habitat.

Mais dans la pratique, le lien entre densité de population et densité des polluants semble assez logique : dès lors que les matières plastiques sous toutes leurs formes participent à la vie quotidienne de toute la population, forcément, on en disperse inévitablement autour de nous. Et ces fameux PFAS étant issus des matières plastiques, forcément, on en essaime sur notre passage, faisant se corréler la courbe de densité de l'habitat avec la densité de la pollution.

Après, on parle de pollution aux PFAS parce qu'ils sont utilisés pour leurs propriétés anti-adhésives dans 1 millions de produits de notre quotidien mais tout frottement d'un produit sur un autre implique inévitablement un transfert de particule d'une chose sur l'autre ainsi qu'une dispersion dans la nature de quelques résidus... Remplaçons les PFAS par autre-chose et on aura donc simplement une autre pollution liée à d'autres résidus. En soi, le problème est insoluble à moins de supprimer la vie de la planète et là aussi, la vie est apparue par la rencontre de particules entre-elles donc à partir d'où considérer une "pollution."
Artifice
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oups... "En soi, ça ne suit QUE la présence de la population..." (petite coquille)

Enfin, pour ce qui est des PFAS, je ne dis pas "youpie, bouffons-en tous une bonne dose au petit dej, il n'y a rien de mauvais dedans" mais je crois qu'il faut vraiment relativiser : nous vivons à une époque qui veut à tout prix tout aseptiser alors même que l'état naturel des choses et du monde n'est pas une situation aseptisée et que la vie tient sa force de son art à développer une immunité naturelle contre les éléments contre lesquels elle doit se battre.

Oui, les PFAS sont un élément agressif pour le corps humain dont on doit la création à l'être humain il y a une soixantaine d'années, mais d'autres éléments aussi bien d'origine naturelle que d'origine anthropique sont présents dans l'environnement et parfois plus nocifs pour l'homme...
Machin
()
C'est le plus étrange, cette antagonisme. Vouloir qu'il n'y ait pas de PFAS et en utiliser à outrance. Bloquer la contimation à la COVID et faire partir les gens aux quatre coins du monde. Etc.
Objet
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Cet antagonisme, ça pique les yeux. XD
Babiole
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C'est pas parce qu'il y en a partout depuis longtemps que ça ne doit plus être un problème à traiter.

Je déteste cette mentalité fataliste "foutu pour foutu". Ça empêche tout progrès. Même si le progrès est parfois de revenir en arrière. Et même si ça arrive tard, ce sera toujours mieux que jamais.

Limiter l'exposition ne peut être que bénéfique. Peu importe l'échelle, il faut bien démarrer quelque part. Puis il est temps de calmer un peu l'industrie sur ses dérives. Certifier des usages avec un peu plus de rigueur, de vision long terme. Ça n'a rien à voir avec une volonté d'aseptiser que de retirer des sources clairement identifiées comme problématiques. On a identifié que c'était une saloperie, on freine des quatre fers et on trouve une meilleure solution.

Tu parles des canalisations d'eau, il y a celles à l'amiante aussi, qui sont apparues pour remplacer celles au plomb.
Bidule
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Puis augmenter la transparence dans l'identification des problèmes et leur résolution, ça éduque et responsabilise. Si ça fait peur, c'est qu'on a mal expliqué. Non ?

Ce monde en a bien besoin.
Chose
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C'est le noeud du problème. Éducation et responsabilité.

Éducation. Une grosse partie de la population, et c'est bien dommage, recherche ce qu'elle veut entendre ou lire. Toutes ces braves personnes ont des convictions qui se fondent uniquement parce qu'elles les ont lues ou entendues. Pas de recherche. Pas de confrontation. C'est dit, c'est parole d'évangile. Lorsque j'ai une information, j'essaie de savoir s'il y a un fond de vrai. J'applique ce qu'on m'a appris, y a-t-il des sources fiables ? Puis est-ce que c'est reproduisible ? Est-ce que ces deux/plusieurs sources sont indépendantes les unes des autres ? Est-ce que les résultats convergent ? Là, après toutes ces interrogations, je peux me faire une idée. Les gens ne font pas ça.

Responsabilité. Les entreprises doivent faire du profit pour les actionnaires. Elles mettent tout en oeuvre dans ce sens. Elles paient des scientifiques pour immiscer le doute. Pas de conscensus, ça traîne. Plus ça traîne, plus elles engrangent des profits. "On a identifié que c'était une saloperie, on freine des quatre fers et on trouve une meilleure solution." C'est une utopie tant que les bénéfices prévaudront.
Bidule
()
Je ne dis pas qu'il ne faut rien faire pour améliorer la situation, je dis juste qu'on fait tout un foin pour une mini-crasse sortie d'un chapeau... quand à côté de ça :
- on bouffe du poisson de la baltique nourri aux déchets nucléaires du Koursk,
- on étanchéifie notre environnement jusqu'à vicier l'air ambiant,
- on s'inflige un stress à s'en péter les veines à longueur d'année,
- on passe tellement peu de temps à voir la lumière naturelle que nos peaux en développent des cancers au premier rayon en été,
- on boit des sodas composé d'acide à t'en faire fondre une poutre d'acier et de sucre en quantité telle qu'on crée des générations de diabétiques,
- ...

Mais ne regardons surtout pas tout ça, pendant 48 heures, il y a eu un dépassement marginal de la concentration en microplastiques flottants dans l'eau du robinet (dont 95% a fini dans les chiottes, 4% a servi à faire une vaisselle avant de finir également à l'égout et 1% a réellement été bu.

Bref, éviter d'ajouter des crasses supplémentaires dans notre environnement, oui... mais il s'agirait de prioriser les choses en fonction de la gravité du problème pour miser non-pas sur l'effet de "nouvelle crise" mais sur les actions à l'impact réel le plus pertinent.
Instrument
()
« Quand le sage désigne la Lune, l'idiot regarde le doigt. »

C'est triste mais tellement vrai.
Outil
()
J'aime pas prioriser. Faut attaquer tous les fronts en parallèle, chacun à son échelle. Sinon, on n'avance pas.
(Vous n'avez pas (encore) les droits nécessaires pour répondre à cet article)
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